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Films à la demande pour les scolaires et périscolaires

Vous souhaitez voir un film avec votre classe ou votre groupe périscolaire  ?  Ce film n'est pas à l'affiche au Cinéma Bel Air ? N'hésitez pas à nous faire part de votre demande. Nous pouvons vous aider à trouver le film adéquat.

N'hésitez pas à nous contacter au 03 89 60 48 99 ou cinebelair@wanadoo.fr pour toute question ou pour réserver vos séances.

Nos tarifs scolaires : 5 € / élève - 4 € / élève pour les classes d'établissements participant aux dispositifs d'éducation à l'image (Ecole et Cinéma, Collège au Cinéma, Lycéens et apprentis au Cinéma) au Cinéma Bel Air - 4 € pour les films de moins d'1 heure. Gratuité pour les accompagnants.

Nos tarifs périscolaires : 3,50  € / enfant - 2,50 € pour les films de moins d'1 heure. Ce tarif prend en compte la contremarque Passeurs d'images de 1.50 € par billet. Gratuité pour les accompagnants.

Exemple de films :

    Séance à la demande pour les scolaires / périscolaires

    De Arnaud Demuynck, Frits Standaert, Hugo Frassetto, Célia Tisserant, Cloé Coutel Animation Court-Métrage - France/Belgique - 2022 - 45min

    Grosse colère et fantaisies

    Programme de cinq courts métrages d'animation.Que ferions-nous sans notre imaginaire qui nous donne le pouvoir d’échapper aux monstres, de calmer nos colères ou de retrouver un être cher ? Avec Grosse colère & fantaisies, La Chouette du cinéma nous offre cinq histoires entre espiègleries et émotions, qui nous démontrent que le bonheur découle simplement de notre fantaisie et de notre imagination : Vague à l’âme de Cloé Coutel, Grosse colère de Célia Tisserant et Arnaud Demuynck, Les Biscuits de Mamy de Frits Standaert, Quand j’avais trop peur du noir de Célia Tisserant et Arnaud Demuynck, La Trop petite cabane de Hugo Frassetto

    On avait beaucoup aimé Grandir, c’est chouette, programme de trois courts métrages sortis l’an dernier, diffusé par Cinéma Public Films, une société de distribution créée en 1989 qui, après avoir révélé de nombreux films étrangers art et essai, se consacre depuis 2005 à la création pour un jeune public. Cette année, la chouette inventée par Les Films du Nord se pose à nouveau sur sa branche et nous convie à de charmantes histoires autour du thème de l’imagination. Cette faculté de l’esprit humain se décline à travers cinq courts métrages drôles, contemplatifs, inventifs, qui reposent sur des situations de la vie courante : ainsi, dans le superbe Vague à l’âme, la réalisatrice Cloé Coutel parvient à rendre sensible les vertus de l’ennui, lorsqu’il conduit une petite fille à inventer son propre univers au-delà d’une solitude initialement ressentie, au milieu d’un paysage de dunes. Magnifié par ses décors minimalistes à l’aquarelle, cette œuvre laisse une impression durable, suspendant le temps dans une rêverie aux accents universels. De la même façon, le petit garçon de Grosse colère fait l’apprentissage de l’autonomie, en surmontant les effets d’un conflit avec son père. Il parvient à matérialiser sa rancœur sous la forme d’un monstre rouge. Adapté de l’ouvrage de Mireille d’Allancé paru chez L’École des loisirs, le film de Célia Tisserant et Arnaud Demuynck s’avère un petit bijou de délicatesse sur la gestion des émotions. Les deux artistes signent également Quand j’avais peur du noir, une histoire traditionnelle de peurs enfantines au moment du coucher. Là encore, le film est adapté d’une histoire de Mireille d’Allancé. Plus difficile d’accès, le court métrage de Frits Standaert, Les biscuits de Mamy, est une évocation symbolique de la mort à travers les souvenirs d’un enfant qui suit le délicat chemin du deuil. Le récit s’avère pudique, essaimant les moments heureux aux quatre vents d’une mémoire bien vivante. Enfin, La trop petite cabane de Hugo Frassetto, avec ses personnages géométriques et son argument surréaliste -des animaux qui s’entassent comme des cubes dans un endroit trop étroit- vient clore ce florilège, toujours pertinent, commenté par une chouette bienveillante. Avoir-alire
    Séance à la demande pour les scolaires / périscolaires

    De Michel Seydoux, Laurent Charbonnier Aventure - France - 2021 - 1h20

    Le Chêne

    Il était une fois l'histoire d'un chêne, vieux de 210 ans, devenu un pilier en son royaume. Ce film d'aventure spectaculaire rassemble un casting hors du commun : écureuils, balanins, geais, fourmis, mulots... Tout ce petit monde vibrant, vrombissant et merveilleux scelle sa destinée autour de cet arbre majestueux qui les accueille, les nourrit, les protège de ses racines jusqu'à sa cime. Une ode poétique à la vie où la nature est seule à s'exprimer.

    Bien calé dans son fauteuil, et même accroché à lui parfois tant l’action s’avère intense, on écarquille les yeux devant les images éblouissantes de ce chêne majestueux, situé près d’un étang, qui constitue un fascinant écosystème à lui tout seul. Le Parisien
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    De Marya Zarif, André Kadi Animation - Canada/France - 2022 - 1h12

    Dounia et la princesse d'Alep

    Dounia a 6 ans, elle quitte Alep avec quelques graines de nigelle au creux de la main et avec l’aide de la princesse d’Alep, Dounia fait le voyage vers un nouveau monde.

    Racontant avec poésie et lyrisme la douleur de l’exil, Dounia et la Princesse d’Alep est une magnifique ode au conte et à l’art comme échappatoire à la dureté du réel. Née en Syrie, dans une famille chrétienne cosmopolite trilingue qui voyageait énormément, Marya Zarif a eu l’idée d’adapter un projet de mini-série en 6 épisodes, profitant de sa double richesse culturelle pour transmettre les influences ayant contribué à sa construction en tant que femme et artiste. Au gré des cultures et des langues, d’une mythologie à l’autre, elle s’est découvert un goût pour le conte qu’elle tente de transmettre dans ce film d’animation merveilleusement poignant. Le bleu du miroir
    Séance à la demande pour les scolaires / périscolaires

    De José Luis López-Linares avec Jean-Claude Carrière, Nahal Tajadod, Julian Schnabel Documentaire - France / Espagne / Portugal - 2022 - VOST - 1h30

    L'Ombre de Goya par Jean-Claude Carrière

    Amoureux des arts et fin connaisseur de Goya, Jean-Claude Carrière nous guide dans son œuvre incomparable. Pour en percer le mystère, il accomplit un dernier voyage en Espagne qui le ramène sur les traces du peintre. Des liens se tissent avec des artistes issus du monde du cinéma, de la littérature et de la musique montrant à quel point l'œuvre de Goya est influente.

    Jean-Claude Carrière, décédé le 8 février 2021, avait déjà sondé les fantômes de Goya pour Milos Forman en 2006. Le voici attaché ici à son ombre. Le scénariste émérite effectuait pour ce documentaire une dernière échappée en Espagne sur les traces de grand peintre originaire de l’Aragon (comme Luis Buñuel !) Si l’ombre du titre est au singulier, cela ne l’empêche pas de couvrir un vaste champ. Le génie de Goya reste en tout point mystérieux. Face à la création, il convient de rester humble, pour autant chacune des observations du sage Jean-Claude Carrière (et des différents intervenants dont Julian Schnabel), éclaire notre regard sur l’œuvre. L’observateur engagé s’incarne à travers les toiles de Goya. Dans l’ultime séquence du film, Jean-Claude Carrière face au diptyque de la Maja, lance un dernier adieu aux tableaux : « Il se fait tard maintenant pour moi... ». Emouvant forcément. Première
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    De Gilles Weinzaepflen Documentaire - France - 2019 - 1h14

    LE LISERE VERT LA FRONTIERE DEPLACEE

    Une frontière matérialisée par 4056 bornes, posées sur notre territoire après la défaite de 1870. Elles marquent la limite des provinces perdues de l’Alsace-Lorraine. Ces bornes forment aujourd’hui une cicatrice intérieure, un no man’s land de la mémoire que j’arpente. Que me disent-elles de mon histoire ? Des relations de voisinage franco-allemandes ? De notre horizon commun, l’Europe ? Suivre le bornage sur la crête des Vosges puis dans le bassin lorrain, à la rencontre des paysages et des habitants. Bâtir un itinéraire de pensée, pour offrir une visibilité et un statut à cette frontière oubliée, en faire un monument.

    Lycée

    « La genèse de ce film a commencé là, il y a cinquante-quatre ans, puisque je suis né à Mulhouse. Et le Bel-Air est le premier cinéma art et essai où je suis venu adolescent. J’y avais vu Orange mécanique et Barry Lindon , en 1980, lors d’une rétrospective Kubrick. Et je vois que cette salle s’appelle William Wyler, alors elle me tient encore plus à cœur… » Pour Gilles Weinzaepflen , la présentation du Liseré vert , dimanche au Bel-Air, a pris une tonalité particulière, un petit parfum de madeleine de Proust totalement raccord avec le sujet de son film. Car dans le Liseré vert il n’est question que de mémoire, de traces qui s’effacent dans le paysage et dans les esprits. Et que le cinéaste ravive à travers ses images, superbes (œuvres d’un chef opérateur artiste, Tristan Bordmann, également né à Mulhouse…), rythmées par un texte sensible et foisonnant où tout se mêle comme dans un rêve : l’histoire – la grande, la petite, la familiale —, la géographie, les souvenirs, les rencontres. « Ce n’est pas un documentaire historique, prévient d’emblée Gilles Weinzaepflen, plutôt une sorte de poème. » Le cinéaste y part sur les traces des 4056 bornes posées en 1871, de la Suisse au Luxembourg, pour marquer la nouvelle frontière franco-allemande, à la suite du traité de Francfort. Des bornes oubliées, envahies par la végétation, parfois déplacées pour agrémenter des jardins, parfois arrachées pour construire des contournements routiers. Ces bornes qui s’égrènent le long des 540 km d’une frontière oubliée (marquée par un liseré vert sur les cartes anciennes) sont à l’image de cette histoire. Enfouie, non dite. Dans la famille de Gilles Weinzaepflen, l’arrière grand-père, Joseph, n’avait que 5 ans lorsqu’il s’est réveillé allemand en 1871, mais il ne l’a jamais accepté. Dans la légende familiale, telle que nous la raconte Le liseré vert, il était vu comme un héros, pour avoir apposé sur la porte du restaurant L’aigle d’or, qu’il tenait rue du Sauvage, un panonceau « Interdit aux Allemands », et cela en pleine première guerre mondiale. En refaisant l’histoire au fil des bornes, Gilles Weinzaepflen a appris que la ville avait changé plusieurs fois de mains en août 1914 et que le panneau avait vraisemblablement été posé pendant ces quelques jours où Mulhouse était redevenue française… Le jeune William Wyler, futur réalisateur de Ben-Hur, dont la famille tenait une bonneterie non loin de L’Aigle d’or, a aussi raconté ces nuits d’août 1914 où les Mulhousiens ne savaient jamais s’ils réveilleraient allemands ou français. Pour Gilles Weinzaepflen, la double culture de Ben-Hur, juif élevé comme un romain, le rapproche de cette histoire. Et voilà comment Le liseré vert, au fil des vagabondages de la pensée, nous conduit jusqu’à Hollywood… Mais revenons à cet arrière-grand-père, Joseph Schultz. Héros ou pas, « j’aimais bien ce personnage qui ne parlait pas français, a vécu la plus grande partie de sa vie dans l’empire allemand mais qui, pourtant, se sentait français », a raconté Gilles Weinzaepflen à l’issue de la projection. « Pour moi, cela déconstruit tout ce qu’on dit sur l’identité nationale. » Bien plus que la langue, l’histoire ou la géographie, « c’est le désir qui détermine cette identité », estime le réalisateur. (...) L'Alsace
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    De Cédric Chambin avec Cédric Chambin Documentaire - France - 2022 - VF - 1h13

    Cathédrale Sauvage

    Au cours des dernières décennies, le bétonnage systématique et l’utilisation de produits chimiques ont gravement endommagé la biodiversité des villes. Sur la cathédrale Notre-Dame de Strasbourg située dans le vieux centre historique, Mathieu Baud, en charge de la conservation de l’édifice, veille sur les derniers représentants d’une faune aussi riche qu’insoupçonnée. Accompagné des cinéastes Pauline Bugeon et Cédric Chambin, Mathieu se lance dans une enquête pour documenter, recenser et tenter de préserver les espèces sauvages qui peuplent le monument religieux le plus visité de France, la cathédrale de Strasbourg.

    Cathédrale sauvage, c’est le projet de deux Indiana Jones strasbourgeois : Cédric Chambin et Pauline Bugeon. Ils partent à la recherche de la faune qui se cache sur la cathédrale de Strasbourg. En plus du documentaire, ils ont également écrit un livre, qui leur a permis d’avoir un plus large panel d’oiseaux et d’espèces photographiés, soit à peu près une vingtaine, et d’aller plus loin dans la réflexion sur le rôle de la cathédrale en tant qu’éco-système à part entière.
    Sortie nationale / Séance à la demande pour les scolaires / périscolaires

    De Marie Kreutzer avec Vicky Krieps, Florian Teichtmeister, Katharina Lorenz, Jeanne Werner, Alma Hasun Historique Drame - Autriche / France / Luxembourg / Allemagne - 2022 - VOST - 1h53

    Corsage

    Noël 1877, Élisabeth d’Autriche (Sissi), fête son 40e anniversaire. Première dame d’Autriche, femme de l’Empereur François-Joseph Ier, elle n’a pas le droit de s’exprimer et doit rester à jamais la belle et jeune impératrice. Pour satisfaire ces attentes, elle se plie à un régime rigoureux de jeûne, d’exercices, de coiffure et de mesure quotidienne de sa taille. Etouffée par ces conventions, avide de savoir et de vie, Élisabeth se rebelle de plus en plus contre cette image.

    Prix d'interprétation Féminine dans la section "Un certain regard"- Festival de Cannes 2022.

    Élisabeth règne aux côtés de l’empereur dont la famille sera liée à une tragédie qui a parachevé le démarrage de la Grande Guerre. Les tensions sont déjà près de trente avant ce premier conflit mondial. Mais le seul souci d’Elisabeth est lié à son âge. Elle voudrait garder la ligne, un teint magnifique, et de surcroît collectionner des amants. Quand elle ne se pèse pas, elle s’adonne à chevaucher des destriers puissants, ou à se faire filmer par un comte précurseur des premiers réalisateurs de cinéma. Corsage est un film d’une évidente maîtrise. Les costumes, les décors, les lumières participent à un projet tout entier dévoué à l’interprétation sans faille de la comédienne Vicky Krieps. L’actrice est maintenant bien connue de la Croisette et elle brille de nouveau dans le rôle de cette femme, tout autant insupportable que mélancolique. Le rythme et les dialogues apportent au récit une dimension totalement romanesque. Flaubert ne semble pas loin dans les traits d’une impératrice obsédée par son tour de taille et la jeunesse éternelle. En ce sens, le long-métrage est d’une formidable modernité. Alors que l’Europe du moment s’apprête à basculer dans le chaos généralisé, l’impératrice consume sa vie dans des plaisirs superficiels, à l’exception de la visite d’un hôpital psychiatrique où elle semble reconnaître dans les traits de certaines malades, l’épouvante de sa propre névrose. Les films qui nouent la Grande et la petite histoire à travers le portrait quotidien des femmes et hommes de pouvoir sont toujours passionnants pour apprécier combien les enjeux personnels peuvent influer sur les orientations politiques. En l’occurrence, Marie Kreutzer se plonge dans les replis feutrés des palais impériaux ou des demeures royales où le couple s’exerce aux amours contrariées. On apprend beaucoup de la futilité des choses en matière politique et le titre même du film rajoute à l’étonnante superficialité avec laquelle les gens de pouvoir se livrent. Il n’y a aucun doute que nombre de spectateurs verront dans cette œuvre cinématographique d’époque une métaphore de notre propre monde contemporain, pétri par la vulgarité des apparences. A voir à Lire
    Séance à la demande pour les scolaires / périscolaires

    De Alexis Michalik avec Thomas Solivérès, Olivier Gourmet, Mathilde Seigner, Tom Leeb, Lucie Boujenah Comédie Historique - France - 2018 - 1h53

    Edmond

    Paris, Décembre 1897. Edmond Rostand n’a pas encore trente ans mais déjà deux enfants et beaucoup d’angoisses. Il n’a rien écrit depuis deux ans. En désespoir de cause, il propose au grand Constant Coquelin une pièce nouvelle, une comédie héroïque, en vers, pour les fêtes. Seul souci : elle n’est pas encore écrite.

    Collèges et lycées

    Alexis Michalik avait réussi une pièce alerte (et au succès triomphal) sur la création effrénée du Cyrano de Bergerac d’Edmond Rostand. Le voilà encore plus virtuose dans l’auto-adaptation très cinématographique de son spectacle de théâtre sur le théâtre. Télérama
    Séance à la demande pour les scolaires / périscolaires

    De Claude Stratz avec Guillaume Gallienne, Alain Lenglet, Yoann Gasiorowski, Christian Hecq, Denis Podalydès, Clément Bresson, Julie Sicard, Coraly Zahonero, Elissa Alloula France - 2021 - 2h20

    Le Malade imaginaire (Comédie-Française)

    Argan règne sur une cour de médecins mécréants et ignorants qui abusent de ses faiblesses. Père tyrannique, hypocondriaque fâcheux, obnubilé par ses névroses, il souhaite marier sa fille Angélique au neveu de Monsieur Purgon, son fidèle médecin traitant. Mais celle-ci, amoureuse du jeune Cléante, lui résiste au risque d’être envoyée au couvent. L’odieuse marâtre Béline ne fait qu’attiser le conflit. Il faudra l’opiniâtreté et les ruses de la servante Toinette pour que les masques tombent….

    Séance à la demande pour les scolaires / périscolaires

    De Olivier Dahan avec Elsa Zylberstein, Rebecca Marder, Élodie Bouchez, Judith Chemla, Olivier Gourmet Biopic - France - 2022 - 2h20

    Simone - Le voyage du siècle

    Le destin de Simone Veil, son enfance, ses combats politiques, ses tragédies. Le portrait épique et intime d’une femme au parcours hors du commun qui a bousculé son époque en défendant un message humaniste toujours d’une brûlante actualité.

    Collèges et lycées

    Plus qu'un biopic, un portrait intime et un grand film sur la mémoire. Le Point
    Séance à la demande pour les scolaires / périscolaires

    De Florian Zeller avec Hugh Jackman, Zen McGrath, Vanessa Kirby, Laura Dern, Anthony Hopkins Drame - France/Grande-Bretagne - 2022 - VOST - 2h03

    The Son

    Nicolas a dix-sept ans et semble avoir du mal à vivre. Il n'est plus cet enfant lumineux qui souriait tout le temps. Que lui est-il arrivé ? Et pourquoi ne va-t-il plus en cours ? Dépassée par les événements, sa mère ne sait plus quoi faire, et Nicolas demande à vivre chez son père. Ce dernier va tout faire pour tenter de le sauver et lui redonner le goût de vivre. Mais peut-on vraiment sauver quelqu'un d'autre que soi-même ?

    Lycées

    Après Le Père devenu The Father , Florian Zeller continue d’adapter ses pièces de théâtre en films. Son deuxième long-métrage transpose Le Fils en The Son , un drame sur la paternité aux allures de tragédie grecque. Un film porté par un casting époustouflant. Les DNA

    Prochainement